Brigitte s’appelle en réalité Bay (pour info, en hmong Npaim).
Ce qui signifie en bon français, papillon (plus exactement npauj npaim). Voici donc un petit post dédié à tous les “bay” de Bussy, tous beaucoup moins beaux que mon papillon à moi, mais beau quand même.
J’ai installé sur mon blog depuis environ une semaine un plugin de stats. Grâce à lui je sais pas mal de choses. Comme la répartition des navigateurs utilisé lors de la visite sur le site (firefox en tête), je vois aussi que certaine personne passe dessus à l’aide de leur iPhone (Seb ?) et bien d’autres encore.
Une affiche qui fait envie. J’ai eu la chance de pouvoir aller à l’édition de l’année dernière et c’était vraiment sympa malgré le fait que j’ai du partir avant la fin (gloups !)
Cette fois-ci, on ne sais pas encore si la France fera parti des pays programmer et même si c’est le cas quels artistes seront vraiment présents. En tout cas voilà un casting des plus sympathique.
Vivant depuis près de 10 ans auprès d’une hmong, je dois dire que je me sens honteux de ne savoir que quelques brides de sa langue maternelle. Il faut dire aussi, pour ma défense, qu’elle ne m’a pas trop aidé à me cultiver et c’est donc par mes propres recherches que je compte m’y mettre sérieusement et nous en faire profiter tout les deux.
Ah le petit week-end de 4 jours qui permet d’avoir un avant-gout des vacances alors que ces dernières se font attendre. Déjà agréable par principe, il est encore bonifié par la présence de personnes qu’on apprécie.
Palinouche a fêté avec 2 amis à elle ses 30 ans un peu en avance le week-end dernier.
L’occasion de passer du temps avec elle mais aussi de revoir Aris, Sourya (qui nous a présenté Périne), Issara et même Vilay et Sandrine qu’on avait pas vu depuis super longtemps.
Pierre et nous avons été un peu les photographes de la soirée, voici donc quelques clichés.
Petit coup de fraîcheur de cette année, après le solo de B-Real, cet album de deux de mes artistes préférés arrive alors que les “perles” from west se font plus rares que mes muscles au niveau du bide. Blaqkout marque en effet une collaboration de poid entre 2 lascars de californies qui chacun de leur côté ont marqué l’histoire de la west coast. Alors bien sur, je ne trouve pas l’opus parfait et il n’arrive pas à la cheville des meilleurs morceaux de Kurupt, ni des meilleurs prods de Dj Quik… mais l’écoute m’a procuré un réel plaisir. Il y a quand même des morceaux bien punchy et des sons qui fleure bon le Quik’s Groove même si la encore c’est un peu timide. J’espère une suite à cette collaboration car je pense qu’ils peuvent vraiment nous livrer une bombe.